Catherine Sylvain
Point d'origine
2014
Présentation de l'oeuvre
Intimement liée à l'histoire du quartier, Point d’origine rend hommage aux ouvriers d’hier et d’aujourd’hui. Elle met en valeur le travail accompli par ceux qui ont fait naître Rosemont : les travailleurs des anciens ateliers municipaux qui ont oeuvré, de 1909 à 2005, sur le site même où est aménagée la place et qui ont contribué au développement de Montréal. À l'échelle humaine, la sculpture comprend trois parties géométriques issues d’un assemblage complexe et rythmé. La partie principale de l’œuvre est constituée d’une main fermée en un poing composée de plaques d’aluminium lisses et texturées. Cette main, c’est la main de l’ouvrier, cet outil versatile qui a le pouvoir de tout construire et de tout réparer par sa force et son habileté. Elle constitue la matière première de la ville. Plus bas, des plans triangulaires en aluminium, accentuent le mouvement de la main vers le sol. Enfin, des pavés en granit noir incrustés au sol complètent la sculpture qui semble se déconstruire. Par ses formes angulaires et schématiques, la sculpture met en valeur le caractère bâti du travail accompli par les ouvriers anonymes.
Catherine Sylvain
Artiste multidisciplinaire, Catherine Sylvain réalise des œuvres marquées par un questionnement sur notre rapport au monde. Point d’origine s’ajoute à deux projets d’intégration des arts à l’architecture : un pour l’école primaire des Grands-Vents, à Sainte-Marthe-sur-le-Lac, et l’autre pour le centre sportif régional de Memphrémagog, à Magog. On a pu voir son travail dans plusieurs expositions personnelles, notamment à la galerie Horace à Sherbrooke (2006), à Expression, centre d’exposition de Saint-Hyacinthe (2005), et au centre d’exposition CIRCA, à Montréal (2004). Elle a également présenté ses œuvres dans des expositions collectives, notamment à la Biennale de Liverpool (2010) et au Musée national des beaux-arts du Québec (2008). Formée à l’Université Laval (baccalauréat en arts plastiques, 1999) et à l’Université Concordia (MFA, 2003), Catherine Sylvain enseigne aussi les arts visuels au cégep de Saint-Hyacinthe
Présentation de l'oeuvre
Intimement liée à l'histoire du quartier, Point d’origine rend hommage aux ouvriers d’hier et d’aujourd’hui. Elle met en valeur le travail accompli par ceux qui ont fait naître Rosemont : les travailleurs des anciens ateliers municipaux qui ont oeuvré, de 1909 à 2005, sur le site même où est aménagée la place et qui ont contribué au développement de Montréal. À l'échelle humaine, la sculpture comprend trois parties géométriques issues d’un assemblage complexe et rythmé. La partie principale de l’œuvre est constituée d’une main fermée en un poing composée de plaques d’aluminium lisses et texturées. Cette main, c’est la main de l’ouvrier, cet outil versatile qui a le pouvoir de tout construire et de tout réparer par sa force et son habileté. Elle constitue la matière première de la ville. Plus bas, des plans triangulaires en aluminium, accentuent le mouvement de la main vers le sol. Enfin, des pavés en granit noir incrustés au sol complètent la sculpture qui semble se déconstruire. Par ses formes angulaires et schématiques, la sculpture met en valeur le caractère bâti du travail accompli par les ouvriers anonymes.
Catherine Sylvain
Artiste multidisciplinaire, Catherine Sylvain réalise des œuvres marquées par un questionnement sur notre rapport au monde. Point d’origine s’ajoute à deux projets d’intégration des arts à l’architecture : un pour l’école primaire des Grands-Vents, à Sainte-Marthe-sur-le-Lac, et l’autre pour le centre sportif régional de Memphrémagog, à Magog. On a pu voir son travail dans plusieurs expositions personnelles, notamment à la galerie Horace à Sherbrooke (2006), à Expression, centre d’exposition de Saint-Hyacinthe (2005), et au centre d’exposition CIRCA, à Montréal (2004). Elle a également présenté ses œuvres dans des expositions collectives, notamment à la Biennale de Liverpool (2010) et au Musée national des beaux-arts du Québec (2008). Formée à l’Université Laval (baccalauréat en arts plastiques, 1999) et à l’Université Concordia (MFA, 2003), Catherine Sylvain enseigne aussi les arts visuels au cégep de Saint-Hyacinthe