Marianne Chevalier
Au diapason
2022
Présentation de l'oeuvre
Les deux interventions artistiques sont situées à l’entrée principale du chalet du parc Armand-Bombardier, donnant sur le boulevard du même nom. Elles sont constituées de lignes brisées colorées en relief, complétées de longues planches noires qui reprennent les motifs horizontaux du toit de la terrasse arrière du bâtiment.Le titre de l’œuvre fait référence à l’expression «?se mettre au diapason?», qui signifie se placer dans un état d’esprit en phase avec autrui et avec les circonstances du moment. Évoquant des ondulations d’ondes colorées, ces éléments de l'œuvre expriment l’exaltation que l’on peut ressentir lors d’activités, de rencontres et d’événements culturels. Ils symbolisent la vibration sociale et le lien que l’on peut créer les uns avec les autres pendant ces moments communautaires. Les lignes noires représentent des trajectoires. Qu’elles renvoient aux personnes, aux organismes, aux groupes culturels ou à d’autres entités, ces lignes se mettent à palpiter dans un espace distinct qui pourrait représenter celui du chalet, mais aussi tout autre lieu où l’on se regroupe afin de créer ou de vivre une expérience collective.
L’œuvre a été façonnée au terme d’activités de médiation culturelle pilotées par l’artiste et tenues avec le centre de promotion communautaire Le Phare. Un panneau intérieur précise l’apport de chaque jeune ayant participé aux activités et dont le travail a été mis à contribution pour la réalisation de l’œuvre.
Événements associés
L’œuvre Au diapason s’inscrit dans le cadre du volet 3 du Programme d’art mural, financé par l’Entente sur le développement culturel de Montréal conclue entre la Ville de Montréal et le gouvernement du Québec. Elle s’intègre au projet de construction d’un chalet sur le terrain du parc Armand-Bombardier, dans le quartier Rivière-des-Prairies.
Marianne Chevalier
Marianne Chevalier s’intéresse à l’élaboration d’allégories par l’entremise d’assemblage d’éléments photocopiés provenant de différentes sources. Elle détient un baccalauréat en design graphique de l’Université du Québec à Montréal (2005) et une maîtrise en arts visuels de l’Université Laval à Québec (2008). Son travail a été présenté au Canada, en Écosse et en Irlande. Depuis 2019, elle est invitée à participer à des concours d’intégration des arts à l’architecture.
Prix et distinctions
- ,
Présentation de l'oeuvre
Les deux interventions artistiques sont situées à l’entrée principale du chalet du parc Armand-Bombardier, donnant sur le boulevard du même nom. Elles sont constituées de lignes brisées colorées en relief, complétées de longues planches noires qui reprennent les motifs horizontaux du toit de la terrasse arrière du bâtiment.Le titre de l’œuvre fait référence à l’expression «?se mettre au diapason?», qui signifie se placer dans un état d’esprit en phase avec autrui et avec les circonstances du moment. Évoquant des ondulations d’ondes colorées, ces éléments de l'œuvre expriment l’exaltation que l’on peut ressentir lors d’activités, de rencontres et d’événements culturels. Ils symbolisent la vibration sociale et le lien que l’on peut créer les uns avec les autres pendant ces moments communautaires. Les lignes noires représentent des trajectoires. Qu’elles renvoient aux personnes, aux organismes, aux groupes culturels ou à d’autres entités, ces lignes se mettent à palpiter dans un espace distinct qui pourrait représenter celui du chalet, mais aussi tout autre lieu où l’on se regroupe afin de créer ou de vivre une expérience collective.
L’œuvre a été façonnée au terme d’activités de médiation culturelle pilotées par l’artiste et tenues avec le centre de promotion communautaire Le Phare. Un panneau intérieur précise l’apport de chaque jeune ayant participé aux activités et dont le travail a été mis à contribution pour la réalisation de l’œuvre.
Événements associés
L’œuvre Au diapason s’inscrit dans le cadre du volet 3 du Programme d’art mural, financé par l’Entente sur le développement culturel de Montréal conclue entre la Ville de Montréal et le gouvernement du Québec. Elle s’intègre au projet de construction d’un chalet sur le terrain du parc Armand-Bombardier, dans le quartier Rivière-des-Prairies.
Marianne Chevalier
Marianne Chevalier s’intéresse à l’élaboration d’allégories par l’entremise d’assemblage d’éléments photocopiés provenant de différentes sources. Elle détient un baccalauréat en design graphique de l’Université du Québec à Montréal (2005) et une maîtrise en arts visuels de l’Université Laval à Québec (2008). Son travail a été présenté au Canada, en Écosse et en Irlande. Depuis 2019, elle est invitée à participer à des concours d’intégration des arts à l’architecture.
Prix et distinctions
- ,



