Robert Roussil
Migration
1967
Présentation de l'oeuvre
Migration est une sculpture abstraite de 4,65 mètres de hauteur et de 4,06 mètres de largeur. Cette composition sculpturale de six pièces de fonte boulonnées évoque par ses courbes des formes tantôt organiques ou animales, tantôt mécaniques.Ses 11 pointes, bien ancrées au sol ou élancées vers le ciel, font de l’œuvre de Roussil un axe entre ciel et terre, un transit entre deux forces, deux mondes. De cette oscillation se dégage un double effet de stabilité et de légèreté qui transforme radicalement le lieu.
L’œuvre a profité, en 2004, d’une restauration et d’un déplacement afin de la remettre en valeur. Elle se trouve désormais près du chemin du Tour-de-l’Isle au parc Jean-Drapeau de l’île Sainte-Hélène. Ce nouvel emplacement rappelle toutefois son contexte de création et sa vocation originale, tous deux liés à l’Expo 67.
Événements associés
Dès 1965, la compagnie chargée d’organiser l’Expo 67 mandate Robert Roussil, artiste déjà bien établi, pour réaliser une sculpture dans le but d’orner la place du Jardin des étoiles durant la tenue de l’événement. Une première œuvre est réalisée, mais à la suite d’un bris dans le transport, une seconde est commandée au début de 1967 pour remplacer la première. Cette seconde œuvre, Migration, sera donc réalisée en France et acheminée à temps pour l’ouverture le 27 avril.
Robert Roussil
Ancien militaire, Robert Roussil (Montréal 1925 – Tourettes-sur-Loup 2013) reçoit sa formation artistique à l’école d’arts décoratifs et de design du Musée des beaux-arts de Montréal (1945-1946). Depuis, ses sculptures de bois, sphères habitables et structures monumentales à conception modulaire remettent en question, parfois de manière controversée, la fonction des espaces publics et privés.
Roussil a participé à plusieurs symposiums en Yougoslavie, à Montréal et à Grenoble et a réalisé de nombreux projets d’art public d’envergure au Québec et à l’étranger, dont l’aménagement d’un parc de sculptures sur le toit d'une usine d'épuration des eaux usées à Saint-Laurent-du-Var, France.
Roussil a participé à plusieurs symposiums en Yougoslavie, à Montréal et à Grenoble et a réalisé de nombreux projets d’art public d’envergure au Québec et à l’étranger, dont l’aménagement d’un parc de sculptures sur le toit d'une usine d'épuration des eaux usées à Saint-Laurent-du-Var, France.
Présentation de l'oeuvre
Migration est une sculpture abstraite de 4,65 mètres de hauteur et de 4,06 mètres de largeur. Cette composition sculpturale de six pièces de fonte boulonnées évoque par ses courbes des formes tantôt organiques ou animales, tantôt mécaniques.Ses 11 pointes, bien ancrées au sol ou élancées vers le ciel, font de l’œuvre de Roussil un axe entre ciel et terre, un transit entre deux forces, deux mondes. De cette oscillation se dégage un double effet de stabilité et de légèreté qui transforme radicalement le lieu.
L’œuvre a profité, en 2004, d’une restauration et d’un déplacement afin de la remettre en valeur. Elle se trouve désormais près du chemin du Tour-de-l’Isle au parc Jean-Drapeau de l’île Sainte-Hélène. Ce nouvel emplacement rappelle toutefois son contexte de création et sa vocation originale, tous deux liés à l’Expo 67.
Événements associés
Dès 1965, la compagnie chargée d’organiser l’Expo 67 mandate Robert Roussil, artiste déjà bien établi, pour réaliser une sculpture dans le but d’orner la place du Jardin des étoiles durant la tenue de l’événement. Une première œuvre est réalisée, mais à la suite d’un bris dans le transport, une seconde est commandée au début de 1967 pour remplacer la première. Cette seconde œuvre, Migration, sera donc réalisée en France et acheminée à temps pour l’ouverture le 27 avril.
Robert Roussil
Ancien militaire, Robert Roussil (Montréal 1925 – Tourettes-sur-Loup 2013) reçoit sa formation artistique à l’école d’arts décoratifs et de design du Musée des beaux-arts de Montréal (1945-1946). Depuis, ses sculptures de bois, sphères habitables et structures monumentales à conception modulaire remettent en question, parfois de manière controversée, la fonction des espaces publics et privés.
Roussil a participé à plusieurs symposiums en Yougoslavie, à Montréal et à Grenoble et a réalisé de nombreux projets d’art public d’envergure au Québec et à l’étranger, dont l’aménagement d’un parc de sculptures sur le toit d'une usine d'épuration des eaux usées à Saint-Laurent-du-Var, France.
Roussil a participé à plusieurs symposiums en Yougoslavie, à Montréal et à Grenoble et a réalisé de nombreux projets d’art public d’envergure au Québec et à l’étranger, dont l’aménagement d’un parc de sculptures sur le toit d'une usine d'épuration des eaux usées à Saint-Laurent-du-Var, France.