Marie-Michelle Deschamps
Réciprocités
2022
Présentation de l'oeuvre
L’œuvre Réciprocités est une installation aux formes simples qui mettent en relation trois grandes arches en acier inoxydable et deux éléments de bronze : une frise suspendue où l’on retrouve des silhouettes de plantes découpées; et, au sol, donnant l’impression de s’être détachée de l’une des arches, une sculpture en forme du fruit de l’asclépiade. Les 16 spécimens botaniques qui composent la frise de bronze, tout comme la forme de l’asclépiade de l’élément sculptural, sont des emprunts à l’herbier The Lost Flora of Montreal, d’Andrew Fernando Holmes (1797-1860), le botaniste et ancien fondateur du département de médecine de l’Université McGill.Les profilés tubulaires en acier inoxydable qui constituent les trois arches mettent l’accent directement sur le patrimoine industriel du quartier Griffintown.
Réciprocités témoigne de cet échange entre le passé industriel des environs et le renouveau actuel du secteur. Cette œuvre vient célébrer la vie qui reprend son cours au sein d’un quartier florissant.
Événements associés
En février 2020, le Bureau d’art public tenait à l’intention des artistes professionnels en arts visuels un concours sur invitation portant sur la conception et la réalisation d’une œuvre pour la place des Arrimeurs. La création de cette œuvre s’inscrit dans le projet Griffintown. En mai 2013, la Ville de Montréal adopte le Programme particulier d’urbanisme (PPU) — Secteur Griffintown, qui présente à la fois la vision du quartier et les interventions mises de l’avant par la Ville de Montréal pour réhabiliter un secteur industriel en un nouveau quartier innovant, habité, et durable. Le PPU reconnaît également la notion de «corridor culturel de la rue Ottawa» comme axe structurant de Griffintown.
Marie-Michelle Deschamps
Le travail de Marie-Michelle Deschamps se concentre sur le langage en tant qu’espace habitable: une véritable structure et un lieu où résident des formes esthétiques. Sa pratique est ancrée dans la conversation, la collaboration et la traduction, soulignant le pouvoir transformatif du langage dans le dialecte formel de l’architecture.
Marie-Michelle Deschamps est basée à Montréal, Canada, et détient une maîtrise en arts visuels de la Glasgow School of Art (Glasgow, Écosse). Les œuvres de Marie-Michelle Deschamps font partie des collections permanentes du Musée d’art contemporain de Montréal, du Musée Voorlinden (Wassenaar), de la Fondation Lafayette (Paris), de la Glasgow School of the Arts (Glasgow), de la Enamel Arts Foundation (Los Angeles) et de la Caisse de dépôt et placement du Québec (Montréal).
Marie-Michelle Deschamps est basée à Montréal, Canada, et détient une maîtrise en arts visuels de la Glasgow School of Art (Glasgow, Écosse). Les œuvres de Marie-Michelle Deschamps font partie des collections permanentes du Musée d’art contemporain de Montréal, du Musée Voorlinden (Wassenaar), de la Fondation Lafayette (Paris), de la Glasgow School of the Arts (Glasgow), de la Enamel Arts Foundation (Los Angeles) et de la Caisse de dépôt et placement du Québec (Montréal).
Prix et distinctions
- Lauréate du programme de résidences Sobey, 2019
- Prix Art Trust Scotland, 2014
Présentation de l'oeuvre
L’œuvre Réciprocités est une installation aux formes simples qui mettent en relation trois grandes arches en acier inoxydable et deux éléments de bronze : une frise suspendue où l’on retrouve des silhouettes de plantes découpées; et, au sol, donnant l’impression de s’être détachée de l’une des arches, une sculpture en forme du fruit de l’asclépiade. Les 16 spécimens botaniques qui composent la frise de bronze, tout comme la forme de l’asclépiade de l’élément sculptural, sont des emprunts à l’herbier The Lost Flora of Montreal, d’Andrew Fernando Holmes (1797-1860), le botaniste et ancien fondateur du département de médecine de l’Université McGill.Les profilés tubulaires en acier inoxydable qui constituent les trois arches mettent l’accent directement sur le patrimoine industriel du quartier Griffintown.
Réciprocités témoigne de cet échange entre le passé industriel des environs et le renouveau actuel du secteur. Cette œuvre vient célébrer la vie qui reprend son cours au sein d’un quartier florissant.
Événements associés
En février 2020, le Bureau d’art public tenait à l’intention des artistes professionnels en arts visuels un concours sur invitation portant sur la conception et la réalisation d’une œuvre pour la place des Arrimeurs. La création de cette œuvre s’inscrit dans le projet Griffintown. En mai 2013, la Ville de Montréal adopte le Programme particulier d’urbanisme (PPU) — Secteur Griffintown, qui présente à la fois la vision du quartier et les interventions mises de l’avant par la Ville de Montréal pour réhabiliter un secteur industriel en un nouveau quartier innovant, habité, et durable. Le PPU reconnaît également la notion de «corridor culturel de la rue Ottawa» comme axe structurant de Griffintown.
Marie-Michelle Deschamps
Le travail de Marie-Michelle Deschamps se concentre sur le langage en tant qu’espace habitable: une véritable structure et un lieu où résident des formes esthétiques. Sa pratique est ancrée dans la conversation, la collaboration et la traduction, soulignant le pouvoir transformatif du langage dans le dialecte formel de l’architecture.
Marie-Michelle Deschamps est basée à Montréal, Canada, et détient une maîtrise en arts visuels de la Glasgow School of Art (Glasgow, Écosse). Les œuvres de Marie-Michelle Deschamps font partie des collections permanentes du Musée d’art contemporain de Montréal, du Musée Voorlinden (Wassenaar), de la Fondation Lafayette (Paris), de la Glasgow School of the Arts (Glasgow), de la Enamel Arts Foundation (Los Angeles) et de la Caisse de dépôt et placement du Québec (Montréal).
Marie-Michelle Deschamps est basée à Montréal, Canada, et détient une maîtrise en arts visuels de la Glasgow School of Art (Glasgow, Écosse). Les œuvres de Marie-Michelle Deschamps font partie des collections permanentes du Musée d’art contemporain de Montréal, du Musée Voorlinden (Wassenaar), de la Fondation Lafayette (Paris), de la Glasgow School of the Arts (Glasgow), de la Enamel Arts Foundation (Los Angeles) et de la Caisse de dépôt et placement du Québec (Montréal).
Prix et distinctions
- Lauréate du programme de résidences Sobey, 2019
- Prix Art Trust Scotland, 2014