Pierre Leblanc
Signal pour Takis
1986
Présentation de l'oeuvre
La création de Signal pour Takis a eu lieu à l’été 1986, mais l’œuvre ne fut réellement complétée qu’en 1998, au moment de son installation à son emplacement actuel au parc René-Lévesque. Dorénavant, elle s’imbrique complètement à son site d’accueil, ouvrant une brèche dans une butte gazonnée. Deux parois de métal bordent cette tranchée; elles sont formées de panneaux boulonnés numérotés de 01 à 06 et de 001 à 006. Leur robustesse, leur dimension et leur facture industrielle évoquent la coque d’un navire et les madriers d’acier s’enfonçant dans le sol forment un angle qui rappelle les palans utilisés pour décharger la cargaison des navires. L’espace entre les parois d’acier est comblé par un amas de pierres.Le titre est une référence à Takis, sculpteur grec contemporain, qui a réalisé un cycle d’œuvres où dominait la présence de lignes verticales et intitulées Signal. Leblanc rend ainsi hommage à un artiste qu’il considère comme un des pionniers de la sculpture actuelle.
Événements associés
L’œuvre Signal pour Takis a été réalisée à l’occasion du deuxième symposium de la sculpture de Lachine, « L’an II – Lachine, carrefour de l’art et de l’industrie », un événement organisé sur les berges du canal de Lachine, à l’été 1986.
Pierre Leblanc
Né à Montréal, Pierre Leblanc vit et travaille à Val-David depuis 1974. Il s’est initié à la sculpture en travaillant à la Fonderie expérimentale de Pierrefonds, où il côtoyait les sculpteurs André Fournelle et Armand Vaillancourt.
Ses œuvres sont exposées régulièrement en Amérique du Nord et en Europe et font partie de plusieurs collections publiques, notamment : Musée du Bas-Saint-Laurent, Musée national des beaux-arts du Québec et Musée d’art contemporain de Montréal. En 2011, le Musée d’art contemporain des Laurentides présentait Signes et repères, une exposition individuelle de ses travaux récents. Leblanc a également réalisé de nombreux projets en art public un peu partout au Québec.
Ses œuvres sont exposées régulièrement en Amérique du Nord et en Europe et font partie de plusieurs collections publiques, notamment : Musée du Bas-Saint-Laurent, Musée national des beaux-arts du Québec et Musée d’art contemporain de Montréal. En 2011, le Musée d’art contemporain des Laurentides présentait Signes et repères, une exposition individuelle de ses travaux récents. Leblanc a également réalisé de nombreux projets en art public un peu partout au Québec.
Présentation de l'oeuvre
La création de Signal pour Takis a eu lieu à l’été 1986, mais l’œuvre ne fut réellement complétée qu’en 1998, au moment de son installation à son emplacement actuel au parc René-Lévesque. Dorénavant, elle s’imbrique complètement à son site d’accueil, ouvrant une brèche dans une butte gazonnée. Deux parois de métal bordent cette tranchée; elles sont formées de panneaux boulonnés numérotés de 01 à 06 et de 001 à 006. Leur robustesse, leur dimension et leur facture industrielle évoquent la coque d’un navire et les madriers d’acier s’enfonçant dans le sol forment un angle qui rappelle les palans utilisés pour décharger la cargaison des navires. L’espace entre les parois d’acier est comblé par un amas de pierres.Le titre est une référence à Takis, sculpteur grec contemporain, qui a réalisé un cycle d’œuvres où dominait la présence de lignes verticales et intitulées Signal. Leblanc rend ainsi hommage à un artiste qu’il considère comme un des pionniers de la sculpture actuelle.
Événements associés
L’œuvre Signal pour Takis a été réalisée à l’occasion du deuxième symposium de la sculpture de Lachine, « L’an II – Lachine, carrefour de l’art et de l’industrie », un événement organisé sur les berges du canal de Lachine, à l’été 1986.
Pierre Leblanc
Né à Montréal, Pierre Leblanc vit et travaille à Val-David depuis 1974. Il s’est initié à la sculpture en travaillant à la Fonderie expérimentale de Pierrefonds, où il côtoyait les sculpteurs André Fournelle et Armand Vaillancourt.
Ses œuvres sont exposées régulièrement en Amérique du Nord et en Europe et font partie de plusieurs collections publiques, notamment : Musée du Bas-Saint-Laurent, Musée national des beaux-arts du Québec et Musée d’art contemporain de Montréal. En 2011, le Musée d’art contemporain des Laurentides présentait Signes et repères, une exposition individuelle de ses travaux récents. Leblanc a également réalisé de nombreux projets en art public un peu partout au Québec.
Ses œuvres sont exposées régulièrement en Amérique du Nord et en Europe et font partie de plusieurs collections publiques, notamment : Musée du Bas-Saint-Laurent, Musée national des beaux-arts du Québec et Musée d’art contemporain de Montréal. En 2011, le Musée d’art contemporain des Laurentides présentait Signes et repères, une exposition individuelle de ses travaux récents. Leblanc a également réalisé de nombreux projets en art public un peu partout au Québec.