Henry Hunt, Tony Hunt
Totem Kwakiutl
1967
Présentation de l'oeuvre
Depuis 1967, du haut de ses 21,3 m, le mât totémique Kwakiutl agit comme un repère sur l’île Notre-Dame. Sculpté dans un mât de cèdre rouge, il comporte six figures mythologiques placées les unes au-dessus des autres : Gwa’wis (Corbeau de la mer), Gila (Ours grizzly et Saumon), Sisiutl (Serpent à deux têtes), Makhinukhw (Épaulard avec un phoque dans la gueule), Tsawi (Castor) et Numas (Vieil Homme). Certaines sections du mât sont peintes en rouge, vert ou noir, tandis qu’on aperçoit le bois nu à d’autres endroits.Le mât totémique Kwakiutl diffère des mâts traditionnellement érigés sur les réserves en ce qu'il résulte d'une commande provenant de l'extérieur de la culture autochtone pour l'événement de l'Exposition universelle de 1967. Sa réalisation observe le code esthétique en vigueur sur la côte nord-ouest du Pacifique. Les six figures mythologiques représentées sont les emblèmes de plusieurs tribus KwaKwaka'wakw et ne font appel à aucun lignage particulier, de façon à illustrer que toutes ces tribus agissent à l'unisson.
Événements associés
L’œuvre faisait partie intégrante du concept du pavillon des Indiens du Canada à l’Exposition universelle de 1967. Elle demeure aujourd’hui le seul témoignage de ce pavillon qui reconnaissait l’apport des nations autochtones à la société canadienne, ainsi que le caractère unique de leurs cultures.
À l’inauguration de l’œuvre, le 10 février 1967, une cérémonie fidèle aux traditions Kwakiutl a complété les allocutions officielles.
Henry Hunt
Originaire de Fort Rupert en Colombie-Britannique, Henry Hunt (1923-1985) est reconnu pour sa sculpture en creux et son travail de recherche sur toutes les formes d’art des cultures autochtones de la côte du Pacifique. Entre 1962 et 1974, il occupe le poste de chef sculpteur au musée provincial de la Colombie-Britannique, où son fils, Tony, lui sert d’assistant. Au cours de leur carrière, les deux hommes ont créé, ensemble ou séparément, de nombreux mâts totémiques répartis aux quatre coins du monde. Par exemple, en 1970, ils ont réalisé conjointement un mât totémique pour l’exposition universelle d’Osaka, au Japon.
La formation des Hunt, père et fils, résulte de la transmission d’un savoir-faire, d’une génération à l’autre. Elle remonte à Charlie James, artiste de grande réputation de la fin du XIXe siècle, reconnu pour avoir créé un style propre aux Kwakiutl de Fort Rupert. Son beau-fils, Mungo Martin, assure la relève et son talent exceptionnel en fera un des grands maîtres sculpteurs de la côte du Pacifique. Il transmet ses connaissances et son art à son beau-fils, Henry Hunt, ainsi qu’à son petit-fils, Tony. Ce dernier est d’ailleurs le fondateur de l’organisme Arts of the Raven Gallery, dévoué à l’apprentissage des jeunes sculpteurs autochtones.
La formation des Hunt, père et fils, résulte de la transmission d’un savoir-faire, d’une génération à l’autre. Elle remonte à Charlie James, artiste de grande réputation de la fin du XIXe siècle, reconnu pour avoir créé un style propre aux Kwakiutl de Fort Rupert. Son beau-fils, Mungo Martin, assure la relève et son talent exceptionnel en fera un des grands maîtres sculpteurs de la côte du Pacifique. Il transmet ses connaissances et son art à son beau-fils, Henry Hunt, ainsi qu’à son petit-fils, Tony. Ce dernier est d’ailleurs le fondateur de l’organisme Arts of the Raven Gallery, dévoué à l’apprentissage des jeunes sculpteurs autochtones.
Tony Hunt
Originaire de Fort Rupert en Colombie-Britannique, Henry Hunt (1923-1985) est reconnu pour sa sculpture en creux et son travail de recherche sur toutes les formes d’art des cultures autochtones de la côte du Pacifique. Entre 1962 et 1974, il occupe le poste de chef sculpteur au musée provincial de la Colombie-Britannique, où son fils, Tony, lui sert d’assistant. Au cours de leur carrière, les deux hommes ont créé, ensemble ou séparément, de nombreux mâts totémiques répartis aux quatre coins du monde. Par exemple, en 1970, ils ont réalisé conjointement un mât totémique pour l’exposition universelle d’Osaka, au Japon.
La formation des Hunt, père et fils, résulte de la transmission d’un savoir-faire, d’une génération à l’autre. Elle remonte à Charlie James, artiste de grande réputation de la fin du XIXe siècle, reconnu pour avoir créé un style propre aux Kwakiutl de Fort Rupert. Son beau-fils, Mungo Martin, assure la relève et son talent exceptionnel en fera un des grands maîtres sculpteurs de la côte du Pacifique. Il transmet ses connaissances et son art à son beau-fils, Henry Hunt, ainsi qu’à son petit-fils, Tony. Ce dernier est d’ailleurs le fondateur de l’organisme Arts of the Raven Gallery, dévoué à l’apprentissage des jeunes sculpteurs autochtones.
La formation des Hunt, père et fils, résulte de la transmission d’un savoir-faire, d’une génération à l’autre. Elle remonte à Charlie James, artiste de grande réputation de la fin du XIXe siècle, reconnu pour avoir créé un style propre aux Kwakiutl de Fort Rupert. Son beau-fils, Mungo Martin, assure la relève et son talent exceptionnel en fera un des grands maîtres sculpteurs de la côte du Pacifique. Il transmet ses connaissances et son art à son beau-fils, Henry Hunt, ainsi qu’à son petit-fils, Tony. Ce dernier est d’ailleurs le fondateur de l’organisme Arts of the Raven Gallery, dévoué à l’apprentissage des jeunes sculpteurs autochtones.
Présentation de l'oeuvre
Depuis 1967, du haut de ses 21,3 m, le mât totémique Kwakiutl agit comme un repère sur l’île Notre-Dame. Sculpté dans un mât de cèdre rouge, il comporte six figures mythologiques placées les unes au-dessus des autres : Gwa’wis (Corbeau de la mer), Gila (Ours grizzly et Saumon), Sisiutl (Serpent à deux têtes), Makhinukhw (Épaulard avec un phoque dans la gueule), Tsawi (Castor) et Numas (Vieil Homme). Certaines sections du mât sont peintes en rouge, vert ou noir, tandis qu’on aperçoit le bois nu à d’autres endroits.Le mât totémique Kwakiutl diffère des mâts traditionnellement érigés sur les réserves en ce qu'il résulte d'une commande provenant de l'extérieur de la culture autochtone pour l'événement de l'Exposition universelle de 1967. Sa réalisation observe le code esthétique en vigueur sur la côte nord-ouest du Pacifique. Les six figures mythologiques représentées sont les emblèmes de plusieurs tribus KwaKwaka'wakw et ne font appel à aucun lignage particulier, de façon à illustrer que toutes ces tribus agissent à l'unisson.
Événements associés
L’œuvre faisait partie intégrante du concept du pavillon des Indiens du Canada à l’Exposition universelle de 1967. Elle demeure aujourd’hui le seul témoignage de ce pavillon qui reconnaissait l’apport des nations autochtones à la société canadienne, ainsi que le caractère unique de leurs cultures.
À l’inauguration de l’œuvre, le 10 février 1967, une cérémonie fidèle aux traditions Kwakiutl a complété les allocutions officielles.
Henry Hunt
Originaire de Fort Rupert en Colombie-Britannique, Henry Hunt (1923-1985) est reconnu pour sa sculpture en creux et son travail de recherche sur toutes les formes d’art des cultures autochtones de la côte du Pacifique. Entre 1962 et 1974, il occupe le poste de chef sculpteur au musée provincial de la Colombie-Britannique, où son fils, Tony, lui sert d’assistant. Au cours de leur carrière, les deux hommes ont créé, ensemble ou séparément, de nombreux mâts totémiques répartis aux quatre coins du monde. Par exemple, en 1970, ils ont réalisé conjointement un mât totémique pour l’exposition universelle d’Osaka, au Japon.
La formation des Hunt, père et fils, résulte de la transmission d’un savoir-faire, d’une génération à l’autre. Elle remonte à Charlie James, artiste de grande réputation de la fin du XIXe siècle, reconnu pour avoir créé un style propre aux Kwakiutl de Fort Rupert. Son beau-fils, Mungo Martin, assure la relève et son talent exceptionnel en fera un des grands maîtres sculpteurs de la côte du Pacifique. Il transmet ses connaissances et son art à son beau-fils, Henry Hunt, ainsi qu’à son petit-fils, Tony. Ce dernier est d’ailleurs le fondateur de l’organisme Arts of the Raven Gallery, dévoué à l’apprentissage des jeunes sculpteurs autochtones.
La formation des Hunt, père et fils, résulte de la transmission d’un savoir-faire, d’une génération à l’autre. Elle remonte à Charlie James, artiste de grande réputation de la fin du XIXe siècle, reconnu pour avoir créé un style propre aux Kwakiutl de Fort Rupert. Son beau-fils, Mungo Martin, assure la relève et son talent exceptionnel en fera un des grands maîtres sculpteurs de la côte du Pacifique. Il transmet ses connaissances et son art à son beau-fils, Henry Hunt, ainsi qu’à son petit-fils, Tony. Ce dernier est d’ailleurs le fondateur de l’organisme Arts of the Raven Gallery, dévoué à l’apprentissage des jeunes sculpteurs autochtones.
Tony Hunt
Originaire de Fort Rupert en Colombie-Britannique, Henry Hunt (1923-1985) est reconnu pour sa sculpture en creux et son travail de recherche sur toutes les formes d’art des cultures autochtones de la côte du Pacifique. Entre 1962 et 1974, il occupe le poste de chef sculpteur au musée provincial de la Colombie-Britannique, où son fils, Tony, lui sert d’assistant. Au cours de leur carrière, les deux hommes ont créé, ensemble ou séparément, de nombreux mâts totémiques répartis aux quatre coins du monde. Par exemple, en 1970, ils ont réalisé conjointement un mât totémique pour l’exposition universelle d’Osaka, au Japon.
La formation des Hunt, père et fils, résulte de la transmission d’un savoir-faire, d’une génération à l’autre. Elle remonte à Charlie James, artiste de grande réputation de la fin du XIXe siècle, reconnu pour avoir créé un style propre aux Kwakiutl de Fort Rupert. Son beau-fils, Mungo Martin, assure la relève et son talent exceptionnel en fera un des grands maîtres sculpteurs de la côte du Pacifique. Il transmet ses connaissances et son art à son beau-fils, Henry Hunt, ainsi qu’à son petit-fils, Tony. Ce dernier est d’ailleurs le fondateur de l’organisme Arts of the Raven Gallery, dévoué à l’apprentissage des jeunes sculpteurs autochtones.
La formation des Hunt, père et fils, résulte de la transmission d’un savoir-faire, d’une génération à l’autre. Elle remonte à Charlie James, artiste de grande réputation de la fin du XIXe siècle, reconnu pour avoir créé un style propre aux Kwakiutl de Fort Rupert. Son beau-fils, Mungo Martin, assure la relève et son talent exceptionnel en fera un des grands maîtres sculpteurs de la côte du Pacifique. Il transmet ses connaissances et son art à son beau-fils, Henry Hunt, ainsi qu’à son petit-fils, Tony. Ce dernier est d’ailleurs le fondateur de l’organisme Arts of the Raven Gallery, dévoué à l’apprentissage des jeunes sculpteurs autochtones.